Mon passage à la radio !

Je n’étais jamais passé à la radio en direct. C’est chose fait !

Hier, l’équipe de Cartman sur Fun Radio m’a invité pour parler de l’origine de l’expression « Ne pas être dans son assiette ».

C’était fun, l’équipe très sympa, et si vous vous demandez également d’où vient cette expression, la réponse dans l’extrait de mon intervention 😉

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De nouvelles couvertures pour Interfeel !

Il y a quelques mois, une classe du collège Jean Zay à Brignais s’est appropriée Interfeel !

Le but : que chaque élève puisse apporter sa patte artistique en redessinant la couverture. Ainsi, chacune et chacun ont choisi les thématiques à mettre en avant, et ont proposé leurs manières de voir le futur avec cette création.

Voilà les productions ! Qu’en pensez-vous ?

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Productions de Fake News !

J’aimerai vous présenter aujourd’hui un passionnant travail autour des Fake News, réalisé l’année dernière (ce qui ne nous rajeuni pas).

Ce projet a été mis en place au lycée Jean Paul Sartre, à Bron, sous l’égide de Lise ! L’idée est simple : les élèves devaient partir d’une VRAIE information, puis la transformer jusqu’à en faire une Infox !

Ensuite, vraies et fausses informations étaient postées dans les couloirs, et les élèves de l’établissement devait à parvenir à les distinguer.

Figurez-vous que ce fut très difficile, d’autant quand parfois l’actualité parait invraisemblable, la Fake News devient crédible !

Laissez-moi maintenant vous présenter le résultat de ce passionnant travail. Et j’ai une question : si vous étiez tombé sur de telles informations sur Internet, les auriez-vous crues ?

Les créations

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Interfeel en BDs !

Le titre est un peu trompeur, c’est normal, c’est fait pour vous attirer l’oeil !

Techniquement, ce n’est pas un mensonge ! Interfeel est bel et bien en BDs (mais ne vous ruez pas dans les librairies pour autant).

Je vous présente un projet qui a eu lieu l’année dernière avec le Collège Champollion : les élèves de deux classes ont adapté plusieurs parties d’Interfeel en planches dessinées !

Le résultat est non seulement extraordinaire (vous jugerez par vous-même), mais en plus ces oeuvres ont été exposés pendant plus d’un mois à la librairie Pavé du Canal. Il est important de mettre en avant le travail de création des élèves. Ces évènements marquent. Ces moments restent. Et parfois, même, ils façonnent une trajectoire artistique.

Voici les oeuvres ! Reconnaissez-vous les passages correspondants dans Interfeel ?

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Mes ateliers d’écriture rendent furieux !

Quand je dirige des ateliers d’écriture, les participants s’énervent généralement au début et à la fin, ils adorent.

Atelier d’écriture à Langeac



Explications ⬇️

En France, traditionnellement, atelier d’écriture consiste à choisir un thème en début de séance, chacun écrit au fil de sa plume et les textes sont lus à la fin.

C’est un processus utile, j’en suis certain, mais ce n’est absolument pas ma méthode !

Car je commence toujours par un quart d’heure de théorie sur la manière d’écrire une histoire ! Autant dire que je surprend !

Place à la théorie !



J’y tiens. L’écriture en France repose beaucoup sur le « style », « l’intuition », le « ressenti ». C’est très bien, mais nous négligeons l’apprentissage des structures narratives. Comment bien choisir un personnages. Comment bien conclure. C’est ainsi que je strucure mes ateliers. Tous les quart d’heures, je donnes des conseils, des outils, pour aider les participants à construire leurs histoires, développer un univers, trouver une fin satisfaisante.

Loin de brider les participants, ces outils les libèrent ! Car au moins ils les connaissent et peuvent les utiliser… ou non !



J’ai encore le souvenir de cette femme venue me remercier à la fin de la séance car naturellement pragmatique, elle était perdue lors des ateliers « d’écriture libre » sans aucune structure et là, elle avait trouvé son bonheur !

Ma méthode n’est pas conventionnelle. Elle surprend, au début. Mais je ne reçois que des remerciements à la fin. Car en plus de créer, les participants apprennent des choses, des manières de d’écrire qu’ils peuvent utiliser par eux-mêmes !

N’opposons pas connaissances et créativités !

En pleine explication !



Contactez-moi si vous souhaitez que j’organise un atelier d’écriture dans votre établissement !

Antonin A

#ecriture #atelier #creativite

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Les rencontres de la semaine !

Les rencontres !

Halloween est l’un des seuls jours où quand vous voyez un fantôme, vous présupposez d’abord qu’il s’agit d’une personne sous un tissu !

Pour être au top les autres jours, je vous propose cette semaine trois rencontres autour des Fake News et de l’esprit critique !

J’interviens :

Jeudi 3 novembre à 16 h 30 à la médiathèque de Saint-Paul-en-Jarez ! (34 rue de la république).

Vendredi 4 novembre à 18 heures à la médiathèque d’Ambilly (23 rue de Genève).

Samedi 5 novembre à 18 heures à la médiathèque de Trets (Avenue René Cassin).

En quoi consistent mes interventions « Fake News et esprit critique ? »

En voici un résumé :

J’ai écrit Interfeel, dans lequel j’imagine un nouveau réseau social qui permet de partager ses émotions. Cette histoire d’anticipation offre un regard critique sur notre propre utilisation des réseaux. L’idée n’est pas de se couper entièrement de ces outils, mais un recul est nécessaire sur notre usage. Je pense tout particulièrement à l’influence des Fake News.

Je me saisis de ce sujet depuis plusieurs années lors de mes interventions en médiathèques et en établissements scolaires. En parallèle à l’écriture, j’étudie les sciences cognitives. Grâce à nos connaissances du cerveau, j’explique pourquoi nous sommes si sensibles aux ‘’infox’’ et pourquoi les Réseaux Sociaux en raffolent. Les informations n’ont pas à être vraies : elles n’ont qu’à nous plaire pour que nous oubliions notre esprit critique. Je soumets le public à quelques illusions divertissantes pour montrer que si notre cerveau est un outil formidable, il est aussi faillible

Les Fake News circulent plus vite et plus loin sur Internet, et sont plus souvent partagées. Elles sont extrêmement attrayantes, ce qui les rend particulièrement dangereuses. Nous pouvons les repérer et réduire leur influence. C’est le but de mon intervention. En comprenant comment notre cerveau se fait avoir, nous apprenons à être plus vigilants !

Rencontre avec les élèves du lycée Termier à Lyon

Nous pouvons limiter l’influence de ces fausses informations sur notre esprit et réduire leurs impacts sur nos sociétés. Durant mon intervention, je vous présenterai les outils pour retrouver votre esprit critique et ne plus céder aux sirènes, attrayantes mais redoutables, des Fake News.

Intervention « Fake News et esprit critique »

Durée : 2 heures.

  • Je commence par quelques illusions d’optique et de pensées.
  • J’explique comment fonctionne le cerveau et ce que sont les biais cognitifs.
  • Je montre plusieurs Fake News et j’explique pourquoi elles séduisent autant.
  • Je montre l’impact des Fake News sur les réseaux sociaux et la réalité.
  • Je présente des astuces pour éviter ces biais, et explique comment vérifier les informations que nous trouvons en ligne.

IMPORTANT : pour voir à quoi ressemble mon intervention sur les Fake News, vous pouvez consultez l’enregistrement ci-dessous, effectué à la médiathèque Simone Veil de Jassans-Riottier.

Vous êtes bibliothécaire ou enseignant et souhaitez que j’intervienne dans votre établissement ? N’hésitez pas à me contacter via « contact » ! Mes rencontres sont toutes réservables via le Pass Culture.

Excellente journée à vous, à bientôt !

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Projet dystopie !

Bonjour à toutes et à tous !

Amies enseignantes et enseignants, vous souhaitez faire travailler vos élèves sur le thème de la dystopie ?

J’ai développé un nouveau cycle de rencontres avec les élèves. Le but ? Ecrire, en trois séances, une histoire dystopique complète. C’est possible !

Voici comment. Chaque séance dure deux heures.

Séance 1

Objectifs :

  • Expliquer ce qu’est la dystopie, et pourquoi ce genre littéraire est si important de nos jours.
  • Donner des astuces pour trouver le concept de votre histoire (ce qui fera son originalité), et les thématiques qu’il permet d’explorer.

Exemple : une histoire dystopique autour du clonage permet de nous faire réfléchir sur de ce qui rend un individu unique.

  • Écrire la prémisse, c’est-à-dire une synthèse de votre histoire en deux phrases maximums.

Exemple : une personne découvre qu’elle est en réalité le clone de quelqu’un d’autre. Elle s’en va à la recherche de cette personne pour comprendre ce qui l’a poussé à se cloner.

  • Créer son personnage principal : comment porte-t-il le concept de votre histoire ? Quel sera son évolution entre le début et la fin de l’histoire ? Que va-t-il apprendre de l’aventure ?

Exemple : malgré son statut, le clone va réaliser que ce qui le rend unique, ce n’est pas ce qu’il est biologiquement, mais ce qu’il ressent, et qui il aime.

  • Trouver la fin de son histoire et comment elle se raccorde aux thèmes de l’histoire.

Le clone découvre que l’être original est en réalité un vieil homme qui n’a jamais pu avoir d’enfant, et qui s’est donc cloné. Malgré les nouvelles technologies, l’obsession de l’homme remonte au fond des âges : le refus de disparaître. Le désir d’être père.

Séance 2

Objectifs :

  • Apprendre à construire son univers autour de l’intrigue.

Exemple : le clonage est-il une exception dans notre histoire ? Est-ce que tout le monde y a accès ? Comme cela impacte-t-il notre société ?

  • Découper son histoire en parties distinctes.

Exemple : Premier paragraphe : l’individu découvre qu’il est cloné. Deuxième paragraphe, il part à la recherche de son créateur et explore la ville. Troisième paragraphe : il trouve enfin un indice…

  • Rédiger le premier jet de son histoire, sans avoir peur de faire des erreurs !

Séance 3

Objectifs :

  • Mettre au propre son texte.
  • Relire et demander de l’aide pour avoir un style fluide et efficace.
  • Avoir la satisfaction d’achever son projet !

Trois séances pour une histoire complète, originale. Pour voir des élèves satisfaits de leur création ! Vous êtes professeur.e et un tel projet vous intéresse ? Contactez-moi via le formulaire au haut du site !

A bientôt !

Antonin Atger

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Le moment le plus émouvant de l’année

Le moment le plus émouvant de cette année est arrivé en mars.

Depuis janvier, je me spécialise dans les interventions scolaires. J’en ai effectué plus d’une centaine et c’est à chaque fois un moment incroyable. J’ai rencontré des centaines d’élèves, voyagé de classes en classes, dans les coins les plus surprenants de France, découvrant pour m’y rendre des lignes SNCF improbables.

La plupart de mes interventions ont pour sujet les fake news. Je cherche à transmettre les bases de l’esprit critique pour que les élèves ne se fassent plus avoir par les fausses informations. D’autres rencontres concernent l’écriture. Parfois, on parle de mes propres livres, Interfeel. Et j’en viens à ce fameux moment.

En mars, j’interviens au sein du lycée Champollion, suite à l’invitation des professeures Sonia et Léa.

Ce sont déjà grâce à elles que les élèves ont transformé mon histoire Interfeel en planches de Bds tapissant durant quelques semaines la librairie du Canal. C’était déjà énorme, mais ce n’était pas tout. À la fin de mon intervention, les classes m’ont remis deux livres, dont voici l’une des couvertures.

A votre avis, que peut donc contenir un tel ouvrage ? Je vous laisse quelques secondes de réflexions et d’imagination, puis vous invite à lire la suite.

Des lettres écrites par mes personnages, qui m’étaient adressé !

C’est une idée incroyable et touchante. Je n’avais jamais vu cela, c’est ce qui rendit ce moment si unique. C’était…

Chaque élève s’est glissé dans la peau d’un protagoniste d’Interfeel et s’adressait à moi, son créateur, me remerciait ou râlant en fonction de comme je l’avais (mal)traité dans l’histoire !

Ce vous mets ci-dessous quelques exemples de ce magnifique projet :

En tant que créateur, c’est étrange de voir ses propres personnages vous engueuler car on les a un peu trop fait souffrir (Non pas que cela me serve de leçon) !Il y avait dans cette lecture un côté méta très agréable, et un renversement des rôles : désormais, les lecteurs utilisent mes personnages pour s’adresser à moi, l’auteur. Une nouvelle manière de considérer l’art. Il est important que le public puisse s’approprier les œuvres, et non pas simplement les digérer passivement. Je préfère les lecteurs acteurs !

Ce genre de rencontres marque. Merci aux profs et aux élèves pour ces beaux moments, et ces témoignages réels, imaginaires, et touchants !

Point final extrêmement important : j’ai aussi eu droit à des chocolats à la fin de la rencontre ! Une excellente manière de clôturer la journée et d’apprécier le trajet retour du RER (comme quoi, c’est possible)

Bel été à vous, à bientôt !

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C’est quoi, le Deus Ex Machina ?

Vous en avez assez de ces héros sauvés à la dernière minute ? Du personnage disparu depuis dix ans qui apparait à la fin du film pour sauver la mise ? Du filet qui apparait de nulle part et éviter la chute mortelle ? Laissez-moi vous présenter le concept d’écriture « Deus Ex Machina ».

On appelle Deus Ex Machina une solution qui sauve nos héros de manière totalement irréaliste. Ce concept signifie littéralement « Dieu sorti de la machine ». Et quand on dit littéral, c’est littéral : dans les tragédies grecques, un acteur porté par une grue descendait du ciel en jouant le rôle d’un Dieu, pour résoudre le conflit. On ne sait pas arrêter une guerre ? Un comédien accroché à un ceintre arrange la situation.

Exemple de Deus Ex Machina traditionnel dans la pièce « Médée » d’Euripide
By I, Sailko, CC BY 2.5, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=7130482

Comme souvent, cette tradition a perduré dans les pièces plus récentes sous une forme évoluée. Chez Molière, l’autorité royale débarque pour régler les problèmes, transformant le Deus Ex Machina en « Rex Ex Machina ».

Utiliser le Deus Ex Machina : une erreur ?

Pourquoi le Deus Ex Machina (DEM) est généralement à éviter ? Tout simplement car cette solution est considérée comme d’une infernale simplicité. Le lecteur aime avoir une résolution d’histoire à la hauteur des enjeux. Ce n’est pas le cas ici.

Un concept est fondamental en écriture : la « suspension consentie d’incrédulité ». Cela signifie que le lecteur accepte la part d’invraisemblable des fictions pour pouvoir en profiter. Mais il y a une limite, que le DEM franchit aisément, car la solution est alors TROP incroyable.

Bien sûr, il existe plein d’astuces qu’utilisent les créateurs, scénaristes ou écrivains, pour faire accepter au public le DEM. La plus courante est le « foreshadowing », ou l’art d’annoncer à l’avance dans une histoire un évènement qui se passera plus tard.

Ce film regorge d’exemples de foreshadowing

Dans « la Guerre des Mondes », les virus qui sauveront l’humanité sont évoqués succinctement. Pour justifier la pluie de grenouilles improbable à la fin du film « Magnolia », PT Anderson, le réalisateur inaugure son film en expliquant que des choses invraisemblables surviennent parfois.

Faut-il abandonner le Deus Ex Machina ?

A me lire, on peut penser que le Deus Ex Machina est à éviter en toutes circonstances. Ce n’est pas le cas. Parfois, le DEM est juste inévitable. Vous n’avez aucune autre solution pour sauver vos héros de ce volcan en éruption. Il faut tricher. Tant pis. Mieux vaut une fin bâclée que pas de résolution.

Parfois, et c’est plus intéressant, la thématique même de l’histoire porte sur l’incroyable, l’improbable, le mystique. Alors le DEM est justifié, puisqu’il est, en quelque sorte, un « miracle ». Un exemple frappant est la manière dont le héros de Slumdog Millionnaire, qui joue à la version indienne de « Qui veut gagner des millions », répond à la toute dernière question.

Scène finale du film, après la fameuse dernière question !

Tokyo Godfathers, l’incroyable film d’animation de Satoshi Kon, utilise de nombreux Deus Ex Machina qui fonctionnent à merveille dans ce « conte de Noël », où le miraculeux est légion.

Il faut voir ce bijou !

Enfin, et c’est pour moi la meilleure utilisation du DEM : vos héros ont souffert, beaucoup. La moitié sont morts, l’autre est sur le point d’y passer. Ce « miracle de fin d’histoire », qui est la notion même du Deus Ex Machina, offrira alors une « récompense » à vos personnages, et un apaisement au lecteur, qui voit enfin un peu de justice dans le traitement des personnages. Les séries The Walking Dead ou l’Attaque des Titans l’utilisent ainsi. Ainsi, tout n’est pas à jeter dans le Deus Ex Machina !

Beaucoup d’horreurs, quelques miracles

J’inaugure une nouvelle série d’articles, où j’explique en détail des concepts d’écriture. Cela vous plait-il ? Souhaitez-vous que j’en fasse d’autres ?

En attendant, mettez-moi en commentaire le Deus Ex Machina le plus incroyable que vous ayez vu !

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600 conseils d’écriture plus tard : le bilan.

J’ai publié plus de 600 conseils d’écriture en un an et demi qur les réseaux, et voici les leçons que j’en ai tiré.



Novembre 2020. En plein confinement, je me lance sur le média social Tiktok pour diffuser quelques conseils d’écriture, histoire de répondre aux demandes d’écrivains en herbe et de maintenir un lien avec mes lecteurs en cette période particulière.

Le résultat a dépassé mes attentes, de très loin. Je suis désormais à plus de 100 000 abonnées sur les réseaux. Mes vidéos ont été aimées 3 millions de fois. J’ai accueilli un nouveau lectorat, et reçu de nombreuses propositions d’interventions.

Qu’est-ce que j’en retiens ?

Il y a une véritable demande pour la création artistique dans ce pays, et pas assez d’offres. Les gens, les jeunes, veulent créer, mais on ne leur offre pas les outils adéquats.

Il y a un immense manque de confiance de la part de cette nouvelle génération de créateur : beaucoup ne se sentent pas légitimes, ou estiment que leur art n’a pas de valeur, alors que c’est le cas.

Enfin, et je ne vais pas me faire que des amis : il y a beaucoup d’arnaques dans le monde de la formation artistique. Certains vont, parfois moyennant finance, prétendre révéler le secret de la création miracle, du succès garantie, comme le ferait n’importe quel influence de dropshipping. La réalité est beaucoup plus pragmatique : pour créer, il faut du travail et de la persistance. Mais cette réalité est moins vendeuse, mais nécessaire à entendre.

En conclusion, des milliers, peut être des millions de personnes, souhaitent s’investir dans l’art et partager leur passion. A l’heure actuelle, on ne leur offre pas les clés pour qu’ils puissent créer, ce qui ouvre la voie, parfois, à des charlatants.

Il est tant que cela change.

Avec mes conseils, j’espère y contribuer.

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